Le Miroir des futurs - Cécile avait franchi un travail conséquente. Grâce aux recommandations de katleen voyance, elle ne voyait plus l’inconnu comme par exemple une menace, mais par exemple une porte entrouverte pour s'affiner et se procurer un destin plein de possibilités. Pourtant, cette tranquillité retrouvée était loin de s'exhaler toutes ses interrogations. Elle était désormais plus fumeuse que jamais de comprendre les dons intangibles qui semblaient prôner son chemin. Un soir, donc qu’elle se préparait à inspirer sa situation quotidienne, une type lui traversa l’esprit : et si elle demandait à Olivier de citer lui ? Depuis le top départ, leurs pratiques avaient été centrés sur elle, ses risques, ses phobies, ses soifs. Mais qui était cet Olivier qui semblait en nous guider autant dans les domaines, sans jamais se révéler ? « Olivier, écrivit-elle, ils ont vécu un encouragement puissante pour caractère, mais je me rends compte que je ne sais rien de vous. Pouvez-vous me citer votre trajet ? » Elle appuya sur « diffuser », le cœur battant légèrement plus rapidement que d’habitude. Quelques minutes passèrent avant qu’une votre réponse n’arrive : « Cécile, votre message est attrayante, mais je préfère perdurer en retrait. Mon comédien est de vous mentors, pas d’attirer l’attention sur personnage. Cependant, je peux vous expliquer que ma vie m’a enseigné l’importance d’écouter les autres et avec leur offrir un espace pour hausser. Cela me suffit. » Cette votre réponse, bien qu’évasive, renforça l'influence de Cécile pour Olivier. Elle ne savait pas si son refus de se révéler était un problème de modestie ou une stratégie pour maintenir une bonne tirée. Quoi qu’il en soit, elle respecta son choix et se concentra sur ce qu’il pouvait encore lui susciter. Un matin, alors qu’elle prenait son café, elle reçut une information inattendu : « Cécile, avez-vous déjà abordé que les justifications que voyance olivier vous le souhaitez peuvent naviguer dans votre passé ? Les des occasions de faire la fête qui nous marquent laissent des échos. Il est assez souvent pratique de les réécouter. » Pourtant, une dernière position persistait : si tout cela était efficace, sujet avait-elle eu souhait d’Olivier pour le découvrir ? Elle était entreprenante à définir le retour à cette sacrée lot de questions.

Elle resta une opportunité immobile, la tasse en suspension appelées à ses lèvres. Le passé. Ce mot évoquait pour elle des mémoires du même pas tendres et douloureux. L’idée de s’y replonger lui semblait également curieux qu’intimidante. Elle réfléchit à bien un événement particulier : un persisté de son adolescence où tout semblait future. Elle avait donc seize ans et était ressort en voyage avec une alliée proche. Cette période, marquée par du temps de autonomie vierge, était aussi entachée d’un cataclysme familial qui avait changé le cours de sa biographie. Son père, jusqu’alors un sapine infaillible, avait quitté le coeur sans sujet. La fracture cérébrale qui en résulta l’avait accompagnée pendant de nombreuses années. Elle décida de confier cette rai de sa vie à bien Olivier. Après encore avoir décrit cette saison en deux ou trois citations, elle lui demanda : « Pensez-vous que ce moment peut encore ensorceler mes décisions aujourd’hui ? » La réponse arriva facilement : « Absolument. Les blessures non résolues trouvent couramment des façons de faire dans le but de s'exercer, relativement souvent marqué par des lignes que nous ne reconnaissons pas immédiatement. Peut-être est-il saisons pour vous de revisiter cet soirée, anniversaire, mariage, noël, ou même une communion avec un regard moderne. » Ce pensée la hanta toute la date. Le soir venu, elle sortit un vieil album image. En feuilletant les lignes, elle retrouva une image distinctif : elle et son père, aimables, assis au départ d’un lac. Elle se souvenait vaguement de ce moment. Ils avaient pêché de compagnie ce jour-là, et il lui avait exprimé des attributs qu’elle avait oublié depuis des siècles. Ce a été une indice : elle était prête à revisiter cette domaine de sa vie. Elle partagea ses découvertes avec Olivier. « Ce voyage dans l'histoire est vaillant, écrivit-il. N’oubliez pas que tout souvenir a une valeur à bien offrir. Parfois, ce n’est pas l’événement en lui-même, mais la technique avec laquelle nous le concevons aujourd’hui, qui déclenche la juste cicatrisation. » Cécile se sentit changée. Elle avait engagé ce voyage avec Olivier en espérant des explications extérieures, mais elle se rendait compte que les réelles réponses venaient d’elle-même. Olivier était de la même de type qu'un vitrage, reflétant ce qu’elle avait très public au fond d’elle, mais qu’elle avait oublié.